L'Association BLUE BUËCH
HISTORIQUE
QUI SOMMES-NOUS ?
REJOIGNEZ LES AMIS DU FESTIVAL
2013
Cette 11ème édition a été la plus difficile, placée sous
le signe des orages dévasteurs de juillet. Au total, la
fréquentation a été moitié plus faible qu'en 2012, année
exceptionnelle il est vrai et 10ème anniversaire du
Festival, avec plus de 900 entrées pour les seuls
concerts payants. 2013 enregistre une légère baisse
d'une soixantaine d'entrées par rapport à 2011
(statistiques sur entrées payantes uniquement). Elle se
termine ainsi sur un constat paradoxal. Quatre concerts d'un
niveau digne des plus grands, de Behia évoluant avec
aisance et grâce sur le répertoire de Billie Holiday, de
l'esthétisme sensible et virtuose du quartet de Gérard
Marais, de la reconstruction de thèmes modernes à la
façon des années 20 d'Anachronic Jazz Band et, bien sûr,
de la prestation exceptionnelle de Cyrus Chestnut et
Piero Odorici, tous méritaient un public bien plus
nombreux que la centaine de spectateurs fidèles et
enthousiastes devant lesquels ils se sont produits.
Alors crise ? Conditions météorologiques il est vrai peu
courantes ? Abondance de l'offre musicale en cette
dernière semaine de juillet ? Peut-être un peu de tout
cela. Seule certitude, la démonstration est faite que
l'organisation d'un festival de jazz de qualité dans nos
régions est une entreprise météorologiquement aléatoire
et financièrement risquée. En revanche, les concerts
gratuits au restaurant de la Germanette, à Val de Serres
et la soirée Jazz Club à la Cafet'U de Veynes ont connu
une belle affluence... mais le hasard a voulu aussi
qu'ils se soient trouvés les rares journées ensoleillées
; difficile de conclure. Par ailleurs, l'expérience
tentée cette année avec le cinéma Le Hublot de Laragne a
été prometteuse.
Bref, si l'Association Blue Buëch se remet des
difficultés financières dans lesquelles elle se trouve
maintenant plongée, ses dirigeants ont à faire preuve
d'esprit d'analyse, de créativité et de discernement
pour que le festival de Jazz de Serres ne soit pas qu'un
bon souvenir. Ils en sont capables. Capables
d'harmoniser les dates avec les autres acteurs du
territoire, capables de rechercher de nouveaux
financements, capables de maintenir la qualité de leur
programmation, capables de développer de nouveaux
partenariats. Quant à la météo, on peut quand même
espérer ne pas revoir de mois de juillet aussi
calamiteux.
Enfin, ils remercient sincèrement leurs partenaires
publics, leurs partenaires privés et tous les bénévoles
qui leur ont apporté leur concours financier, logistique
et opérationnel. Et bien sûr, le public qui lui a fait
confiance.
2012
La dixième édition du Festival de Jazz de Serres a
bénéficié d’une météo favorable qui a permis aux
principaux concerts de se dérouler sur la scène du
Théâtre de Verdure de la Germanette, au bord du lac.
Cette édition anniversaire aura été un grand succès :
programmation applaudie par le public, fréquentation
record, puisque tous concerts confondus, c’est plus de
1 500 spectateurs qui auront assisté aux différents
concerts.
Placé sous le signe de Blue Note, le légendaire label
américain fondé par Alfred Lion, le festival 2012 avait
débuté par une exposition d’un mois à la Galerie Leclerc
de Gap sur le thème Blue Note, avec une centaine de
pochettes de disques, superbes œuvres d’art dont
certaines très rares, provenant de collections privées,
exposition inaugurée en compagnie du groupe Passport
Quartet en show-case. Pendant le Festival, l’Office du
Tourisme de Serres accueillait une rétrospective
illustrée des 9 premières éditions du festival. Etaient
proposées, vidéos, affiches et un exemplaire de chaque
exposition précédente, des dessins de Jean Buzelin en
2003 aux photos d’Isabelle Delfourne en 2011, en passant
par les dessins de Cabu et Ballouhey, à une ‘Pierre
Musicale’, galet du Buëch de la série décoré par les
enfants de l’atelier de Valérie Bouret en 2005. Puis,
c’est avec le quartet de Phil Cassel, The Fabulous
Swingers, que le coup d’envoi était lancé par une
présentation de l’été culturel à Serres.
La série des concerts du théâtre de verdure débutait
avec Tigran Hamasyan, en trio avec Sam Minae à la basse
et Nate wood à la batterie. Tigran, qui a inauguré le
Festival en 2003 au tout début de sa carrière et est
revenu jouer régulièrement sur la scène serroise dans
diverses formations, connaît une carrière éblouissante.
Il est revenu ouvrir ce festival anniversaire devant un
public venu nombreux et enthousiaste. Prestation
impeccable qui restera parmi l’un des grands moments du
Festival. Jazz, rock, accent de musique orientale,
improvisations vocales, Tigran Hamasyan est décidément
inclassable, et génial, sans cesse renouvelé, le public
ne s’y est pas trompé, qui lui a offert une ovation.
Ovation aussi pour le second concert, et public encore
plus nombreux que la veille, pour Rock my Boat. Le
chanteur David Linx, voix d’exception et présence
scénique chaleureuse, s’était entouré d’invités de
marque pour ce projet : Rhoda Scott, Dédé Cecarrelli et
Manu Codjia. Jeudi 19, c’était apéro-Jazz au jardin de
la terrasse U de Veynes, le Passport Quartet du
trompettiste Jean-Bernard Oury a offert une sélection de
morceaux « Blue Note ». A noter Trespasser de Roy
Hargrove sur Fender Rhodes, un émouvant Love for sale de
Cole Porter et Mlle K, une belle valse originale du
bassiste Stéphane Massé. Vendredi, c’était Jazz et
Goûter, la fête des aînés et des tout-petits, mais un
public plus classique était également présent. Il faut
dire que Marianne, superbe chanteuse lyrique, voix que
bien des chanteuses de jazz pourraient lui envier, avait
concocté avec son quartet le programme idéal : une
touche de chanson française, une touche de lyrique, un
passage par West Side Story, un clin d’œil à Boris Vian,
des chansons pour rire et bien sûr un beau volet jazz.
Le samedi, le Miollis Place Sextet rendait un hommage de
grande qualité à la musique de Blue Note en reprenant
les thèmes composés par Herbie Hancock, Wayne Shorter et
bien d’autres, sur des arrangements originaux de son
leader, le pianiste Sébastien Lalisse. Cette 10ème
édition s’est terminée par un dernier clin d’œil à Blue
Note, qui se lança justement en 1939 en enregistrant les
pianistes de Boogie Woogie Meade Lux Lewis, Pete Johnson
et Albert Ammons. Et c’est Philippe LeJeune, l’un des
maîtres du genre qui clôtura ce festival. Il jouait en
quartet avec Dominique Lambrey à la guitare, Bernard
Baldous à la contrebasse et José Fillatreau à la
batterie, quartet auquel il faut ajouter les danseurs
Anne-Hélène et Bernard Cavasa, qui ont bien inspiré le
public : le festival s’est terminé sur des pas de danse.
2011
Le 9ème
Festival de Jazz de Serres ouvre ses portes, au Théâtre de
Verdure de la Germanette, à Serres et dans les environs,
avec toujours un programme varié qui fait la place à toutes
les formes de Jazz. En introduction, le 12 juillet, le
pianiste Jean Schüler animera le concert Jazz et Goûter qui
réunira les enfants du centre de petite enfance et les
résidents de la maison de retraite dans les jardins de Val
de Serres. Le 12 également l’exposition Soul of Jazz de la
photographe Isabelle Delfourne s’installera pour 15 jours à
l’Office de Tourisme. Puis se succèderont Apéro-Jazz et
concerts de fin d’après-midi. Le 15 à Veynes, The Groove
Cookers, proposera du Jazz-Rock des 70's, où les sons chauds
de l'Orgue Hammond et du Sax Ténor sont cuisinés avec des
rythmiques funky Guitare-Batterie. Le 16, standards, latin
Jazz, soul, rythm’n blues avec le Sextet Herbe Folle du
bassiste Jano Gobert et le 17 au restaurant de la Germanette,
concert dans la lignée d’inspiration de Chet Baker, Stan
Getz ou les Jazz Messengers avec Passport Quartet, mené par
le trompettiste Jean-Bernard Oury. Puis se succéderont
les temps forts des trois concerts de 21 heures au Théâtre
de Verdure de la Germanette. Le 18, c’est du jazz vocal avec
une touche caraïbe avec la chanteuse antillaise Tricia Evy,
accompagnée de Xavier Richardeau au saxophone, Jean-Philippe
Bordier à la guitare et Andreas Neubauer à la batterie.
Marquée par Ella Fitzgerald dont elle est capable de
reproduire de façon stupéfiante les duos avec Louis
Armstrong, elle propose un répertoire aux couleurs Jazz et
Biguine. Le 20, ce sera du jazz instrumental avec les
compositions du pianiste Edouard Bineau et son Wared
quartet, révélation « choc » de l’année 2010. Il est
accompagné de Daniel Erdmann au saxophone, Gildas Boclé à la
contrebasse, Arnaud Lechantre à la batterie, avec en invité
le saxophoniste Sébastien texier. Le 22, Jazz et musique
juive de l’est rencontreront la musique islandaise, avec
Klezmer Kaos, l’ébouriffant Quintet de la jeune
clarinettiste et chanteuse islandaise Heida Bjorg
Johannsdottir, qui mêle les influences dans la bonne
humeur : du folklore islandais au jazz, de la virtuosité
classique au son Klezmer. Le dimanche 24 sera réservé au
style negro spirituals, représenté par le groupe vocal
Millenium Gospel Voices, né à Marseille en 2000. Toute une
palette d’émotion : chants de douleur, d’espoir, ou « jubilees»,
caractéristiques de cette musique s’exprime par ces voix
chaudes, voluptueuses, tout à tour rauques et puissantes
dans les aigus. Au programme également, le 21, une séance de
ciné-club autour du thème Jazz et Cinéma à Savournon, dans
le cadre du partenariat avec la BDP. Film de Jazz, de danse
et magnifique comédie musicale qui s’achève en une séance
explosive où les plus grands danseurs de tap dance de
l’histoire, les Nicholas Brothers font une étourdissante
démonstration de leur talent. Avec Lena Horne, Cab Calloway,
Fats Waller…Il y en aura pour tous les goûts, mais toujours
avec une programmation de qualité pour ce Festival qui fête
sa 9ème édition cette année.
2010
L’affiche
était alléchante : des places et des bars investis par des groupes
régionaux, des concerts avec des invités connus et reconnus de la
scène nationale et internationale, un hommage musical et littéraire
à Boris VIAN, et une rencontre improbable entre jazzeux et
pétanqueurs sous forme de concours de boules auquel participait une
équipe de BLUE BUËCH, organisatrice du Festival.
D’entrée de jeu, les Groove Cookers donnent le ton : revisitant à
leur façon les standards du jazz, de la bossa et du reggae, ils
propulsent les spectateurs de la Germanette dans l’ambiance de ce 8e
festival, ambiance que sauront maintenir tout au long de la semaine
le LNAM quartet et Claksound à SERRES, Swing Label à VEYNES.
Le BERSAC accueillait pour la première fois un concert du Festival.
Capucine OLLIVIER y exposa avec beaucoup de délicatesse les thèmes
qui composent son dernier disque « Looking For The Sunny Side Of
Chet » et captiva son auditoire par ses improvisations soulignées
par les interventions pertinentes du trompettiste Jean Bernard OURY
et du pianiste Sébastien LALISSE (p).
Après un passage à la salle des fêtes dans laquelle Diane et le
quartet Misterioso firent planer l’ombre de Boris VIAN, le Festival
rejoignit mercredi son écrin, le théâtre de Verdure, pour accueillir
Dee ALEXANDER.
Ce fut une soirée de folie. Remis de leur périple Chicago – Serres
effectué la veille, le quartet souleva la passion, la voix de Dee
s’inscrivant au milieu du jeu moderne du pianiste Miguel DELACERNA,
de la contrebasse ronde et confortable de Harrison BANKHEAD et de
l’inventif batteur Ernie ADAMS. Et tout bascula lorsque Dee,
descendant de la scène entraîna le public dans une bacchanale qui
fit dire à son manager ébahi « celle là, elle ne me l’avait encore
jamais faite. »
Sans doute jaloux d’une telle démonstration, le vent et les orages
s’invitèrent au festival qui dut se déplacer à la salle des fêtes
pour les deux derniers concerts.
Peu importe. Aurore Quartet imposa avec grâce et énergie ses accents
tziganes et prit même le risque d’inviter sur la scène un jeune
guitariste aux accents flamenco, dont l’intervention fut unanimement
appréciée, dans la salle comme sur la scène.
Enfin, le saxophoniste New Yorkais Dmitry BAEVSKY, avec pour invité
le trompettiste Fabien MARY, conclut ce festival avec des accents be
bop de très haut niveau.
Alors, si l’équipe de BLUE BUËCH n’a pas gagné le concours de
boules, elle a gagné son pari : faire de ce huitième festival une
fête musicale et populaire en mettant le jazz au cœur du village et
pouvoir ainsi placer la barre encore un cran plus haut en 2011.
2009
Le Festival de Jazz de Serres se voit décerner le
label "l'Accordée", qui fédère huit festivals de musique,
label fondé sur "l'excellence des programmations et la mise en
valeur de sites remarquables des Hautes-Alpes". Le Festival de
Jazz de Serres prend désormais sa place aux côtés de manifestations
de très haute tenue : Musique en Dévoluy, Musicales Internationales
Guil-Durance, Messiaen au pays de la Meije, le Festival de Chaillol,
le Festival de Briançon, les Rencontres Musicales de Serre-Chevalier
et Musiques en Ecrins.
L’équipe de BLUE BUËCH vous a donné rendez vous le 2
mai pour un concert exceptionnel : dialogue classique et jazz avec
les pianistes Fanny Azzuro et Tigran Hamasyan, en avant première du
Festival. Et bien sûr, elle vous donne rendez-vous pour la 7ème édition du Festival,
qui se tiendra du 20 au 26 juillet 2009.
2008
Fut un succès...
2007
Fut un succès...
2006
De la salle des fêtes à
la place de la Fontaine, en passant par le théâtre de Verdure, plus
de 1000 spectateurs ont assisté aux quatre concerts proposés pour ce
quatrième festival de jazz de SERRES. Le SINTI SWING quartet
de Sébastien FELIX connut un véritable triomphe lors du premier
concert : 3 rappels et une standing ovation ponctuèrent sa
prestation, qui allia la sensibilité à la virtuosité, et l’on
gardera longtemps le souvenir de Dark Eyes (Les yeux noirs), exécuté
sur un tempo de grand prix de Formule 1. Consacré au jazz
actuel, le deuxième concert attira, autour de l’octet de Sylvia VERSINI, un public différent. Au travers de ses compositions
originales, Sylvia fit partager ses émotions, ses doutes et aussi
ses colères, et dirigea avec grâce et majesté les cuivres de son
orchestre. La fille de Carla BLEY et de Charlie MINGUS, née dans le
jardin de Blanche Neige, occupait la scène ce soir là. Rendez vous au théâtre
de verdure avec DOODLIN’ pour une troisième soirée dédiée au swing
des années 40. Avec humour et dynamisme, les chanteuses Vérène FAY,
Evelyne SORNAY et Emmanuelle RIVAULT firent vibrer un public conquis
d’avance, qui salua également les interventions de la trompette de
Michel BARROT. Le concert de clôture
eut lieu au cœur du village. Les jeunes musiciens du Big Band de
Gap, dirigés avec beaucoup de subtilité par Pierre ESCOLLE,
enchantèrent les quelque 350 spectateurs installés sur la place de
la fontaine qui n’avait sans doute jamais connu une telle affluence. Les chorus des
saxophonistes ténor et alto furent particulièrement applaudis ainsi,
bien sûr, que celui que Pierre prit lui même à la trompette sur une
très belle interprétation de Summertime.
2005
Blue Buëch vous invitait à la 3ème
édition du Festival de Jazz de Serres.
Qualité et diversité des genres sont
à nouveau au rendez vous de cette troisième édition. Guidés par les
‘pierres musicales’ réalisées par les enfants de l’atelier de
Valérie Bourret, les spectateurs se dirigent vers le théâtre de
verdure où le Big Band de Voiron, conduit par Fabrice Bon, ouvre le
festival. La chanteuse Calou rejoindra cette imposante formation
pour un deuxième set au cours duquel sa voix emplira le silence de
la vallée du Buëch. Poumy Arnaud, Christian Azzi, Oliver Franc,
Totol Masselier, Daniel Barda et Alain Marquet rendront ensuite un
vibrant et émouvant hommage à Sidney Bechet. Enfin, le ‘Pentessence’
quintet de Glenn Ferris propulsera les spectateurs sur les sommets
musicaux du jazz actuel. Et les portes de l’entre pots resteront
ouvertes tard dans la nuit pour le bœuf emmené par Jean Schüler, Guy
Gosselin et Patrick Rehan.
2004
Encouragée par ce premier résultat et soutenue par la Municipalité de Serres et la Communauté de Communes du Serrois, l'Association organise un second festival, avec le même au même objectif de mêler des jeunes talents et des musiciens plus chevronnés, des compositions originales et des standards. Le saxophoniste Eric Barret rejoint le trio de Tigran Hamasyan, Nuages de swing invite le talentueux guitariste manouche Sébastien Félix pour un hommage à Django Reinhardt et la troupe de Sergent Pépère clôture le Festival de façon éblouissante. Le saxophoniste François Giuliana assure avec bonheur l'animation par des concerts de rue aux marchés de Laragne et de Serres. Cette seconde édition rassemble plus de 800 spectateurs et se termine par une Jam Session d'anthologie dans la cave de l'Entre Pots, le nouveau repaire de Jacques et Isabelle Arnoux.
2003
Le premier festival s'ouvre au plus fort de la canicule. Avec un programme de trois concerts sur deux soirées, au cours desquels se produisent aussi bien des musiciens chevronnés comme André Jaume ou Alain Soler que de jeunes artistes en devenir comme Tigran Hamasyan ou Antoine Simoni, il attire plus de 500 spectateurs. En complément du Festival, de nombreux visiteurs découvrent l'exposition sur les grands noms du jazz présentée à l'Office du Tourisme de Serres, les oeuvres du graphiste et chroniqueur de jazz Jean Buzelin et les concerts de rue organisés par l'Atelier Jazz Impro de Gap, qui séduisent la foule du marché du samedi.
2002
Gilles Lambert décide de créer un
festival de jazz à Serres, le village d'où sa famille est originaire. L'Association Blue Buëch se constitue
en janvier 2003, réunissant une dizaine de bénévoles qui ont en commun une passion pour le jazz et un attachement fort à la région des pays du Buëch. Ils se fixent comme objectif de créer un festival de Jazz à Serres, village de 1 200 habitants, situé à mi-chemin entre Gap et Sisteron, dans le site magique du Théâtre de Verdure de la base de loisirs de la Germanette.
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